2303 préinscrits, entre lesquels, dans peu de jours, seront tirés au sort les 700 admis au départ. Nombreux les étrangers, signe catégorique que le TOR est toujours une manifestation qui voyage lointain et au même temps fascine et attire. Aussi dans les Pays vraiment hors de portés. On trouve des inscrits, par exemple, représentants de la Nouvelle Zélande, du Madagascar, de la Nouvelle Calédonie, de la Réunion. La nation hors Europe la plus représentée est le Japon, avec ses 81 pré inscrits.
Mais on peut déjà hasarder que une des « star du Tor » sera Stéphanie Case, qui portera en haut (pas seulement métaphoriquement) les couleurs des Territoires de la Palestine. Elle habite en faite Gaza City, même si ses origines sont canadiennes. Stéphanie, 33 ans, souris brillant, physique aléthique, vante un baccalauréat en loi, des études en psychologie, des masters en nombreuses universités et elle travaille depuis toujours, en s’occupant des droits humains, dans les lieux les plus « chauds » au monde : Afghanistan, Sud Soudan, Ethiopie, Syrie, seulement pour en citer quelque un. Sa dernière résidence est dans la Bande de Gaze.
Stéphanie est entre outre une runner de prestige et nombreuses sont les ultratrails très durs, pas seulement portés au terme mais même vainques, partout dans le monde, sur des longueurs jusqu’à 250 miles. En bref, elle est un personnage sur lequel focaliser notre attention, pour sa personnalité et pour le drapeau qu’elle représente. Et même parce que le podium du Tor peut être pour elle abordable.